lundi 2 avril 2007

La semaine dernière, partie 2.


Vendredi, le 30 mars


Je me lève de bonne heure, car je dois aller reconduire mon amour à son travail. On doit s'arranger à une seule voiture, car bien que la mienne soit réparée (270$ plus tard), je l'ai prêter à ma soeur pour qu'elle puisse se rendre à ses formations sans danger. je n'aime pas savoir qu'elle prend le métro dans son coin pourri et criminaliser à l'os passé minuit.
Ensuite, je file vers St-Bruno, car à 10h, j'ai un rendez-vous à la Caisse populaire pour faire du bénévolat. J'ai vendu des jonquilles pour la société canadienne du cancer. Pas vraimetn longtemps, à peine 2 heures, mais au moins j'ai pu en faire. Avec mon horaire chargé, je n'ai pas le temps de m'impliquer dans un organisme communautaire et le bénévolat me manque. Maitenant que je suis membre du Cercle des fermières, des opportunités comme celle là vont se représenter: j'aurai l'occasion de donner quelques heures par-ci, par-là, sans avoir à m'investir plus. Par la suite, quand j'aurai plus de temps, on verra. Pour l'instant ça me convient.
Ça c'est bien passé, les gens étaient gentils et on a fait de bonnes ventes. Le cancer, ça touche tout le monde. On a même eu notre petit moment émotif quand une dame sans cheveux est passée devant nous en nous lançant un "vous travaillez pour moi, vous!" avec un sourire radieux,. Quand on a compris pourquoi elle nous disait ça, il y a comme eu un malaise et j'ai répliqué par un "oui, madame". C'est une réponse un peu poche, je l'avoue, mais je ne savais vraiment pas quoi répondre, surtout sur le coup. Elle est revenue pour nious dire que la société canadienne du cancner faisait un travail incroyable autant pour les amlades que pour leur famille. Ça faisait drôle de mettre un visage sur la "cause". Je suis vraiment content d'avoir pu aider à la campagne de financement de cette année. Surtout que j'ai perdu ma marraine à cause de cette maladie, alors ça résonne plus pour moi et je vois peut-être encore plus l'importance de l'argent pour la recherche. Le cancer de ma marraine était très rare et il n'y avait pas beaucoup de précédents. Les médecins ont fait tout xce qu'ils pouvaient, mais ça n'a pas marcher. Plus d'argent permet de faire de la recherche pour les cancers plus rares.

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