
Une des caractéristiques des Caron, du moins de ma famille, c'est la passion des casse-têtes. C'est inscrit dans nos gènes, je crois. D'aussi loin que je me souvienne, j'ai des souvenirs de mon père, et aussi de ma marraine, pencher sur un casse-tête, à chercher quel morceau allait où avec une intense concentration. Quand on allait au chalet quand j'étais petite , on en faisait surtout quand il pleuvait. Ma tante Estelle l'habitude de garder une pièce dans sa main et de l'oublier. Cette pièce devient invariablement un morceau clé nécessaire pour continuer le casse-tête. Et on le cherche, et on le cherche... Jusqu'à ce que quelqu'un déclic et alors on se chicane joyeusement et on repart. On ne fait pas juste des petits casse-tête, là. Si on a l'espace, on part des 5000 morceaux quipeuvent rester sur une table tout l'hiver ou même toute l'année. Un Noël, mon oncle en avait un de parti dans une petite pièce au sous-ol. Tous ses frères et soerus plaçaient un ou deux morceaux en passant aider à la petite cuisine supplémentaire au sous-sol. Et à la fin de la soirée, ils étaient tous autour de cette petite table au fin fond du sous-sol, avec nous les enfants qui aidaient aussi. Le salon était pas mal vide. Quel plaisir!
J'ai donné un casse-tête en 3D à mon père de Minas Tirith à un Noël, mais il voulait le monter avec ma marraine, qui était je crois l'être humain qui était le plus proche de mon père. Alors qu'elle était mourante, il l'a amener avec lui chez elle, mais elle n'avait pas la force de le faire, alors il l'a ramener sans l'avoir commencer. Quelques jours plus tard elle mourrait.
On a su que mon père allait mieux quand il a monter le casse-tête en silence dans le sous-sol, sa blonde l'a aider. Et il me l'a montrer dès qu'il a été fini. C'était comme thérapeutique.
Aujourd'hui, un autre chapitre de cette passion c'est écrit. J'ai commencer un casse-tête que ma soeur m'avait donné à Noël il y a 3 jours. Et c'est mon chum qui l'a fini cette après-midi.
On dirait bien que le casse-tête c'est trouver une place dans la nouvelle cellule familiale que je me suis formé.
On a su que mon père allait mieux quand il a monter le casse-tête en silence dans le sous-sol, sa blonde l'a aider. Et il me l'a montrer dès qu'il a été fini. C'était comme thérapeutique.
Aujourd'hui, un autre chapitre de cette passion c'est écrit. J'ai commencer un casse-tête que ma soeur m'avait donné à Noël il y a 3 jours. Et c'est mon chum qui l'a fini cette après-midi.
On dirait bien que le casse-tête c'est trouver une place dans la nouvelle cellule familiale que je me suis formé.